likefb

7 sept. 2020

Faciliter les apprentissages à l'aide des concepts et du Mind Mapping - Formations IFEN 2O20-2021

Tous les renseignements utiles pour participer aux formations "Apprendre et différencier avec le Mind Mapping" et "Les concepts comme moyen de simplifier les apprentissages et développer l'autonomie" en 2020-2021. La formation "Apprendre en classe avec le Mind Mapping", donnée par Philippe PACKU, est devenue un module phare dans le programme de formation continuée des enseignants, dans tous les réseaux. De plus en plus d'établissements scolaires, notamment dans l'enseignement fondamental ordinaire et spécialisé, souhaitent la proposer en école, comme formation obligatoire, à toute l'équipe pédagogique, afin que la conceptualisation et la schématisation deviennent des techniques adoptées et exploitées dans toutes les classes. Si vous êtes intéressé(e) par l'un des modules programmés ou par une intervention en école, contactez l'asbl ou consultez les détails (lieux, dates, procédures, ...) 



L'Institut de Formation de l'Education Nationale du Grand Duché de Luxembourg propose, sur le site de Walferdange, les formations « Apprendre et différencier avec le Mind Mapping » et « Les concepts comme moyen de simplifier les apprentissages et développer l'autonomie » pour les enseignants du fondamental et du secondaire.

Programme de formations :

Apprendre et différencier avec le Mind Mapping (EF)
10 et 17 octobre 2020 - enseignement fondamental

Apprendre et différencier avec le Mind Mapping (ES)
16 et 17 novembre 2020 - enseignement secondaire

Les concepts comme moyen de simplifier les apprentissages et développer l'autonomie (EF)
21 et 28 novembre 2020 - enseignement primaire

Les concepts comme moyen de simplifier les apprentissages et développer l'autonomie (ES)
1 et 2 mars 2021 - enseignement secondaire

Nathalie de Goede
Email : nathalie.degoede@ifen.lu
eduPôle - Walferdange
Route de DiekirchL-7220 Walferdange
Institut de formation de l’Éducation nationale
www.ifen.lu

Besoins et objectifs

Les enseignants expriment de façon unanime le besoin d’acquérir des outils supplémentaires pour aider les élèves à mieux encoder, récupérer et exprimer les informations. Mais plus important encore, la mission de l’enseignant est de rendre les élèves compétents, c'est-à-dire capables de se comporter de manière efficace face à des situations inédites. Le manque de temps et la pression liés au volume du programme scolaire donnent l’impression que les apprentissages vont trop vite, que les matières sont vues trop superficiellement. Les difficultés particulières chez certains élèves ne leur permettent pas de suivre le rythme soutenu.

Les formations « Apprendre en classe avec le Mind Mapping » et "Les concepts comme moyen de simplifier les apprentissages" sont idéales pour développer, en classe, une pédagogie qui aide l’élève à :
  • Fixer des savoirs inhérents aux savoir-faire et savoir-être
  • Mémoriser à long terme
  • Être acteur de la construction de la connaissance
  • Organiser et automatiser des démarches
  • Se questionner
  • Faire des liens
  • Créer
  • Analyser
  • S'exprimer oralement et par écrit

Contenu des formations

Les modules proposés par l'asbl Dessine-moi une idée offrent aux participants la possibilité d’acquérir de nouvelles compétences pour imaginer et développer des séquences pédagogiques engageantes qui favorisent la mémorisation et la compréhension à long terme. La technique se base sur les principes élémentaires de construction des savoirs et des savoir-faire. L’efficacité de la technique implique l’utilisation des concepts et des schémas par les élèves, une manière rigoureuse mais aussi personnelle de représenter, stocker et mobiliser les connaissances dans toutes les disciplines, pour toutes les compétences.

Dans un premier temps, il s'agit de faire prendre conscience (ou de rappeler) aux participants qu'il est important de développer chez l'élève des aptitudes métacognitives. L'élève apprend mieux en prenant conscience du pourquoi il apprend et surtout du comment il apprend. Développer chez l'élève la capacité à se représenter, à modifier et à exprimer ses démarches mentales est nécessaire afin de répondre plus efficacement et de manière autonome à des situations inédites. La formation invite le participant à se former dans ce sens pour pouvoir consacrer du temps à cet apprentissage.

La finalité correspond à mettre en place des séquences d'apprentissage engageantes et efficaces pour atteindre des objectifs communs par des chemins variés en respectant l'hétérogénéité de la classe et la diversité des modes d'apprentissage. Pour comprendre comment adapter l'outil à l'objectif, les participants doivent apprendre à identifier le type de fonctionnement cognitif dominant requis par l'apprentissage visé. Au-delà de l'objectif, les participants doivent également préparer des activités de facilitation qui permettent de faire émerger le contenu à transmettre ainsi que la meilleure structure pour fixer la démarche. Chaque élève doit devenir acteur de la construction du référentiel souhaité par l'enseignant (la Mind Map) sans que celui-ci ne communique le schéma.

Méthodologie

Les apports théoriques et les activités proposés sont pensés pour que les participants gagnent en confiance et en autonomie afin qu'ils puissent appliquer les acquis au plus vite avec les élèves. Le déroulé de la formation se base sur trois dimensions :
  • La découverte : sensibilisation aux thèmes abordés, sous forme de réflexions sur les habitudes, le vécu, la connaissance et l'expérience des participants.
  • L'exposé : présentation du volet théorique, sous forme de discours, de schémas explicatifs, de démonstrations pratiques, de témoignages d'acteurs de terrain, ...
  • L'entrainement : recours à une gamme de méthodes actives, comme les exercices de construction ou d'application, de résolution de problèmes, d'études de cas, ...

    Le déroulé pédagogique repose sur la réalisation d'une série d'exercices très concrets, pour chaque domaine théorique abordé. Plusieurs exercices ont été imaginés tant pour le participant que pour les élèves. Une fois réalisé en formation, l'exercice devient une ressource exploitable en classe, un élément à reproduire avec les élèves, dans le même ordre, avec les mêmes objectifs de faire découvrir et comprendre la technique (formation isomorphique).


    22 avr. 2020

    Retour à l'école ... Vous vous posez des questions ? Vous attendez des réponses !

    Envoyez-nous toutes les questions pour lesquelles vous souhaitez une réponse avant le retour à l'école.
    Le confinement qui nous est imposé dans le cadre de l'épidémie de coronavirus chamboule notre quotidien et particulièrement le milieu scolaire. Que vous soyez d’accord ou non, vous devrez bientôt scolariser à nouveau vos enfants si vous êtes parents ou vous rendre à l’école si vous travaillez pour un établissement scolaire. Je suis papa de deux ados et je me pose de nombreuses questions pour lesquelles j'attends des réponses claires avant de renvoyer mes enfants à l'école. Comme beaucoup, j'accepterai difficilement la fatalité d'une possible contamination en espérant que cela n’affecte pas, de manière irréversible, mon avenir et celui de mes proches. Mais si c'est ce qui nous est demandé, que ceux qui décident aient au moins la décence de l'annoncer ainsi.


    La question n'est pas tant de savoir quand le retour nous sera imposé mais bien selon quelles modalités. Les enseignants, les directions et les parents d'élève(s) ne peuvent cacher leurs craintes. Lundi, les acteurs de l'enseignement ont envisagé les scénarios possibles pour une reprise progressive des cours. La ministre Caroline DÉSIR, et les experts se sont mis d'accord sur au moins une chose : il n'y aura pas de rentrée massive de tous les élèves d'ici la fin de l’année. Mais, au final, nous sommes tous suspendus aux recommandations du « Groupe d'experts en charge de l'Exit Strategy » (GEES) et des décisions que prendra, vendredi à 14h, le Conseil National de Sécurité. 

    Accueillir à nouveau les élèves en classe dans les premiers moments du déconfinement est une tâche périlleuse alors que l'épidémie sévit toujours. Pour organiser le retour dans les meilleures conditions, les citoyens vont recevoir bientôt des informations pratiques pour définir qui devra se rendre à l’école, à quel(s) moment(s),  avec quelles restrictions, …

    Mais les réponses à ces quelques questions ne suffiront pas à rassurer tous les parents qui risquent, pour certains, de refuser de mettre leur(s) enfant(s) à l'école. Cela ne suffira pas non plus à rassurer tous les enseignants ou des chauffeurs de bus, par exemple, qui préféreront rester chez eux ou lancer des mouvements de grève. L'initiative de relancer la machine scolaire se solderait alors par un échec, et personne n'en sortira grandi. 

    Pour réussir, il faut rassurer les acteurs du terrain en répondant aux questions qu'ils se posent. Nos dirigeants doivent démontrer qu'ils ont très bien analysé la situation, qu'ils sont conscients des inquiétudes de chacun et qu'ils savent y répondre. C'est une mission quasi impossible sans consulter les personnes concernées (pas seulement leurs représentants) et les délais sont très courts. Nous devons les aider à ne pas prendre des décisions à la légère et ne pas se servir de cet événement comme une espèce de grande expérience humaine qui servirait à tirer des leçons et proposer des ajustements. 

    Pour cela, nous pouvons agir ! Ensemble, nous pouvons faciliter la collecte de toutes les questions. Je vous propose de me soumettre vos interrogations à l'aide du formulaire ci-dessous, de manière anonyme. Que ce soit clair, il ne s'agit ni d'une enquête pour vous demander votre avis ou vos souhaits, ni d'un défouloir pour passer vos coups de gueule. Par exemple, plutôt que de réclamer du gel hydroalcoolique dans la classe, exigez que l'on vous explique quelles seront les mesures d'hygiène qui seront prises. 

    Alors, toutes et tous à vos claviers! Posez autant de questions que vous le voulez et partagez à un maximum de personnes autour de vous. Si vous connaissez des proches qui s'interrogent ou ont besoin d'être rassurés, envoyez-leur cet article pour qu'ils fassent de même. Nous n'avons que quelques heures avant le prochain Conseil National de Sécurité. Je compte sur vous ! 



    Je m’engage à trier toutes vos questions, à les grouper par thèmes, à les publier ici même, au fur et à mesure et finalement à les envoyer aux autorités pour être examinées.

    Liste des questions déjà posées et des réponses connues
    (mise à jour le 26/4/2020 20:00)

    Les réponses fournies dans la liste ci-dessous ont été rédigées sur base des informations provenant de différentes sources, dont notamment :
    - La conférence de presse suite à la réunion du Comité National de Sécurité du 24/4/2020 et les mesures prises à cette occasion ;
    - La circulaire 7550 du 25/4/2020 concernant les modalités relatives à la reprise des cours dans l'enseignement obligatoire à partir du 25 mai 2020 ;
    - Différents interviews donnés par les responsables politiques ;
    - Différents échanges par e-mail avec les responsables politiques .


    PLANIFICATION
    Q : Quand reprendront les cours ?
    R : Sous réserve de pouvoir garantir la sécurité des élèves et des membres du personnel, une première phase de reprise des leçons pourra s’entamer le lundi 18 mai 2020 au plus tôt, à raison de 2 jours par semaine maximum par groupe d’élève, pour la dernière année du primaire et les dernières années du secondaire au terme de laquelle un certificat est délivré.
    En fonction de l’impact organisationnel de la reprise partielle en phase 1 et sous réserve de pouvoir garantir la sécurité des élèves et des membres du personnel, une reprise pourra également être envisagée à partir du 25 mai 2020 pour les élèves de 1ère primaire et si possible de 2ème primaire (1 jour par semaine maximum par groupe) et les  élèves de 2ème secondaire (2 jours par semaine maximum par groupe)
    Tout en tenant compte du nombre d’élèves présents en garderie chaque jour, l’école définit en effet des modalités d’accueil des élèves des années prioritaires adaptées à sa capacité organisationnelle. Le schéma organisationnel est laissé à l’appréciation du Pouvoir organisateur à condition d’éviter les demi-journées.
    Q : Quand se terminera l’année scolaire ?
    R : La poursuite des activités pédagogiques devra être favorisée jusqu’au 26 juin 2020. L’organisation des jurys et des conseils de classe pourront se tenir jusqu’au 30 juin 2020. Les délais des procédures de recours seront adaptés en conséquence en concertation avec les acteurs.
    Q : Quelle est la raison essentielle qui justifie la reprise des cours encore cette année ?
    R : Il s’agira de faire en sorte qu’un maximum d’élèves retrouvent un contact avec l’école, même très limité, pour recréer du lien avec les équipes éducatives et les activités pédagogiques en présentiel.
    Q : Les élèves devront-ils se rendre à l’école pendant les mois de juillet et août ?
    R : Non.

    PUBLIC CIBLE
    Q : La reprise des cours se fera-telle pour tous les élèves de toutes les années et de tous les types d’enseignements ?
    R : Non, le retour à l’école ne concernera que l’enseignement fondamental et secondaire. La priorité sera accordée aux années certifiantes et orientantes (6ème et 7ème), aux 1ère et 2ème primaires (considérant l’importance de ces années d’étude dans la fixation des premiers apprentissages de base), aux élèves en difficulté d’apprentissage identifiés comme tels par leurs enseignants et à certains élèves de l’enseignement spécialisé. Les leçons restent suspendues jusqu’à nouvel ordre pour les classes de maternelle. Au niveau de l’enseignement artistique à horaire réduit, et conformément aux décisions du Conseil National de Sécurité, les académies resteront fermées jusqu’au 30 juin 2020 inclus.
    Q : Les élèves de l’enseignement spécialisé devront-ils retourner à l’école ?
    R : Uniquement les élèves dont la prise en charge s’avère indispensable pour leur développement psycho-pédagogique et social, identifiés comme tels par leurs enseignants et l’équipe médico-sociale et psychologique de l’établissement.
    Les priorités pourraient être ciblées en fonction des types d’enseignement, de la maturité des élèves et de leur inscription à une épreuve certificative. La reprise devra s’envisager en dialogue avec les Ministres en charge du transport scolaire vu les contraintes importantes qui existent à ce niveau notamment sur le plan sanitaire. Une circulaire spécifique sera envoyée très rapidement à ce sujet.
    Q : Les élèves en difficulté scolaire devront-ils retourner à l’école ?
    R : Les équipes éducatives sont invitées à identifier, au sein de chaque groupe-classe, les élèves qui doivent faire l’objet d’un suivi spécifique en raison de difficultés scolaires ou de besoins d’apprentissage particuliers. Ces élèves, quelle que soit leur année d’étude, pourront être invités à se rendre dans l’école pour renouer le contact avec leur(s) enseignant(s) à concurrence de maximum 1 jour par semaine à partir du 25 mai.
    Q : Comment saurais-je si mon enfant doit se rendre à l’école (quel groupe), quels cours il devra suivre et quel sera son horaire ?
    R : …
    Q : Si mon enfant ne va pas à l’école, son absence sera-t-elle considérée comme injustifiée ? Sur base de quels critères ? Quels en seront les conséquences ?
    R Les élèves qui ne font pas partie des classes prioritaires visées seront présumés en absence justifiée. Pour les élèves qui font partie des classes prioritaires, les directions seront chargées de répertorier les demi-jours d’absence pour monitorer la situation. Ces demi-jours ne devront néanmoins pas être signalés. Les autorités feront preuve de « souplesse » concernant l’obligation d’assister aux cours en raison des craintes sanitaires. Il n’y aura pas de sanctions à l’égard des élèves absents ou des parents qui auront refusé de mettre leur(s) enfant(s) à l’école. Cependant, les professeurs devront bien prendre contact avec ces élèves et ces parents pour connaître les raisons de l’absence et s’assurer que l’enseignement à distance puisse être poursuivi. Des modalités devront être mises en place pour éviter de préjudicier ces enfants dans leur parcours scolaire et en aucun cas, ces absences ne pourront avoir une conséquence sur la réussite de leur année.
    Q : Comment savoir si mon enfant est apte à fréquenter les cours ?
    R : Les enfants présentant des signes cliniques devront rester à la maison. Toutes les autres raisons qui vous feraient penser que les conditions ne sont pas réunies pour assurer la sécurité de votre enfant, celle de son entourage ou celle des contacts qu'il renouera avec les personnes à l'école seront suffisantes pour ne pas le laisser retourner à l'école.  
    Q : Si je ne me rends pas au travail (à l’école), quels seront les critères qui détermineront que mon absence est injustifiée ?
    R : Les membres du personnel se tiennent à disposition de leur PO et de leur direction dans la limite du volume de charge découlant de leurs attributions habituelles au sein de celui-ci afin d’assurer la mise en œuvre des dispositions prévues par les nouvelles circulaires ainsi pour participer à la gestion de toute urgence liée à la situation.
    La situation administrative et pécuniaire de ces personnels reste d’application, en ce compris la gestion des absences, conformément aux circulaires précédentes. Le membre du personnel qui ne peut se présenter au travail devra justifier son absence par un certificat médical s’il est malade ou par une attestation médicale s’il est à risque (porteur asymptomatique, système immunitaire affaibli, …)
    Q : Les élèves porteurs d'un handicap, mental ou physique, nécessitant une aide permanente et proche, devront-ils reprendre les cours ?
    R : …
    Q : Les élèves qui souffrent d’une maladie chronique (comme l’asthme par exemple), d’un système immunitaire affaibli, d’obésité, … devront-il reprendre les cours ?
    R : Les experts n’ont pas fourni, à ce stade, de définition précise des groupes à risque, au-delà des indications déjà connues à ce sujet et disponibles sur le site d’informations mis en place par le SPF Santé publique. Dans l’attente d’une clarification, les personnes supposées à risque ou inquiètes en raison de leur âge et/ou de leurs antécédents médicaux sont invitées à consulter leur médecin traitant sur l’opportunité d’un retour à l’école.
    Q : Les élèves dont les parents exercent des métiers qui les exposent davantage au virus devront-ils néanmoins reprendre les cours ?
    R : …
    Q : Les élèves dont un des proches a été contaminé par le virus mais qui ne semblent pas présenter de symptômes devront-ils néanmoins reprendre les cours ?
    R : …
    Q : Quels sont les critères qui détermineront qu’un enseignant ou un autre membre du personnel (direction, administration, entretien, …) doit être présent ou non à l’école (âge, état de santé mentale ou physique, antécédents en lien avec l’épidémie, …) ?
    R : Les experts n’ont pas fourni, à ce stade, de définition précise des groupes à risque, au-delà des indications déjà connues à ce sujet et disponibles sur le site d’informations mis en place par le SPF Santé publique. Dans l’attente d’une clarification, les personnes supposées à risque ou inquiètes en raison de leur âge et/ou de leurs antécédents médicaux sont invitées à consulter leur médecin traitant sur l’opportunité d’un retour à l’école.

    GESTES « BARRIÈRE »
    Q : Les élèves et les enseignants devront-ils respecter la distance de sécurité d'1,5m partout dans l’établissement et plus particulièrement en classe ?
    R : Oui. L’entrée à l’école, la sortie, les heures de détentes (récrés, études, intercours, …), les repas devront être organisés de manière à respecter une distance de plus de 1,5 mètre par élève (soit une surface de 7m²). Cela peut être organisé par des temps d’entrée/sortie plus longs et des temps de jeu et de réfectoire décalés, en alternance. Les horaires d’arrivée et de départ des groupes d’élèves doivent être aménagés de façon à limiter les regroupements de personnes.
    Q : De quels moyens disposeront-nous pour faire respecter les distances parmi des élèves plus jeunes, des élèves porteurs d’un handicap, des élèves qui pris par le jeu ou l’activité sportive, des élèves tellement heureux de se retrouver, des élèves amoureux, … ?
    R : …
    Q : Combien de fois et à quels moments les élèves devront-ils se laver les mains ?
    R : Tous les élèves devront se laver les mains, à l’eau et au savon ou avec un gel hydroalcoolique en entrant dans l’école, en entrant dans la salle de classe (après les récréations), après l’utilisation des toilettes, après avoir toussé ou éternué, après avoir utilisé un distributeur et avant de quitter l’école.
    Q : Mon enfant aura-t-il accès à du gel hydroalcoolique et des mouchoirs jetables en suffisance, partout dans l’école ?
    R : Toutes les écoles devront être équipées en savon, gel hydro-alcoolique et serviettes en papier.  
    Q : Mon fils devra-t-il porter un masque à l’école partout, tout le temps ?
    R : Oui. Le port d’un masque en tissu sera obligatoire tout au long de la journée de cours pour tous les élèves à partir de la 6ème primaire et du secondaire. L’utilisation de masques FFFP2 n’est pas explicitement recommandée. Le port d’un autre type de protection nez/bouche comme un masque artisanal ou de confort, une écharpe, un foulard, n’est pas explicitement autorisé.
    Q : Les enseignants et les membres du personnel devront-ils porter des masques et des gants ?
    R : Oui. Tous les membres du personnel devront porter des masques en tissu toute la journée. Le personnel d'entretien et les agents de santé devront, en plus, porter des gants.
    Q : L’école fournira-t-elle des masques pour les élèves et les membres du personnel, de quel type ?
    R : Non. Le Gouvernement fédéral a annoncé une initiative en matière de fourniture de masques en tissu à tous les citoyens belges.
    Q : Comment me fournir en gel, gants et masques en suffisance si ce n’est pas fourni par l’école ?
    R : Une task force a été mise en place par le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour entreprendre une action en la matière, mais aussi prévoir des commandes groupées de gels hydro-alcooliques, en articulation avec les fédérations de pouvoirs organisateurs.
    Q : Mes enfants devront-ils porter un masque dans le bus ?
    R : Le port du masque (ou une autre protection nez/bouche comme un masque artisanal ou de confort) sera obligatoire dans tous les transports en commun à partir du 4 mai.
    Q : Comment assurera-t-on l’efficacité et l’hygiène des masques ? Seront-ils vérifiés, remplacés, désinfectés, jetés en lieu sûr ?
    R : …
    Q : Qu’arrivera-t-il aux élèves qui se rapprochent trop l’un de l’autre, qui ne se lavent pas les mains, éternuent ou toussent sans précaution.
    R : …
    Q : Les installations (classes, couloirs, réfectoires, bancs, clenches de portes, toilettes, matériel, …) seront-elles désinfectées plusieurs fois par jour, avant l’ouverture des portes le matin ?
    R : Les classes doivent être nettoyées (bancs, équipement, tout ce qui peut être touché à la main) après chaque journée d'école et après chaque utilisation par un groupe d'élèves différent. Les sanitaires doivent être vérifiés et éventuellement nettoyés deux fois par jour. Le personnel veillera à aérer au maximum les locaux. Faire la classe à l’extérieur est recommandé.
    Les Services de Promotion de la Santé à l'école (PSE) doivent appuyer les écoles de manière systématique dans la mise en place des mesures sanitaires et des procédures de nettoyage. Ils devront communiquer le protocole à respecter.
    Q : Les installations sanitaires seront-elles vérifiées et remises en état avant la rentrée pour être conformes ?
    R : …
    Q : Les écoles devront-elle prévoir du personnel supplémentaire pour la désinfection régulière des installations ?
    R : Une évaluation des impacts des nouveaux protocoles sur le travail des membres du personnel concernés sera effectuée avec les fédérations de pouvoirs organisateurs et les organisations syndicales.
    Q : Comment faire respecter les gestes barrières à des enfants très jeunes ou indisciplinés ?
    R : …
    Q : Quels moyens auront les éducateurs pour faire respecter les règles et les recommandations ?
    R : …
    Q : Comment se fera l’accès aux toilettes ?
    R : Le nombre de personnes qui pourront accéder simultanément aux toilettes correspondra au nombre de lavabos qu’elles comportent. Les toilettes devront être pourvues de savon et de serviettes jetables.

    GESTION DE L’ÉPIDÉMIE
    Q: Qui décidera que la rentrée pourra se faire en toute sécurité ?
    R : Les conseillers en prévention/services SIPPT et les organes locaux de concertation seront saisis et devront confirmer que l’ensemble des conditions sont rencontrées pour permettre l’accueil des élèves et du personnel en toute sécurité. Ces organes doivent se prononcer en toute connaissance des mesures de sécurité prises et des modalités organisationnelles prévues dans chaque école.
    Q : En tant qu’enseignant, si je tombe malade, ou pire, si je décède, suite à une contamination à l’école, ma maladie sera-t-elle reconnue comme une maladie professionnelle par l’État et les assurances pour couvrir les frais et les indemnités ?
    R : …
    Q : Comment saurons-nous si une personne qui se rendra à l'école n'est pas porteuse du virus ? Les élèves et les enseignants seront-ils dépistés à l’aide de tests Covid-19 ? Quel type de test ?
    R : Il n'y aura pas de test systématique en prévention. Les tests sont prévus uniquement pour les personnes qui présenteront des symptômes cliniques et pour leurs contacts.
    Q : Les résultats des tests seront-ils obtenus rapidement ?
    R : …
    Q : Quelles mesures seront prises si un cas de contamination est suspecté ou avéré chez un élève ou un membre du personnel ?
    R : L’élève qui présentera des symptômes cliniques devra être isolé et accompagné dans un espace dédié, équipé d'un thermomètre digital à distance, de gants et de masques pour la personne qui l’accompagne. L'espace devra être grand et idéalement bien ventilé. Les parents de l’élève malade devront être contactés immédiatement pour récupérer leur enfant. L’enfant et ses contacts devront être testés.
    Tout membre du personnel présentant des symptômes devra immédiatement rentrer chez lui ou attendre dans le local d’isolement qu’un de ses proches vienne le récupérer. Le membre du personnel et ses contacts devront être testés.
    Les Services de Promotion de la Santé à l'école (PSE) doivent appuyer les écoles de manière systématique dans la mise en place des mesures en cas de covid-19 confirmé ou suspecté. Ils devront communiquer le protocole à respecter.
    Q : En tant qu’enseignant, que devrais-je faire si je suis en contact avec une personne contaminée, à l’école ou en dehors  ?
    R : …
    Q : En tant qu’enseignante, que devrais-je faire si je suis détectée positive au coronavirus après être allée en classe  ?
    R : …
    Q : Qui portera la responsabilité de la contamination si une personne contaminée n’a pas agi de manière responsable ou indisciplinée ?
    R : …
    Q : Qui sera responsable (enseignant, direction, PO, commune, l’État, …) si les mesures demandées ne sont pas appliquées à l’école provoquant la contamination ?
    R : …
    Q : L’État organisera-t-il des contrôle externes pour vérifier l’application des mesures dans les écoles ?
    R : …
    Q : Les écoles pourront-elles faire signer une décharge de responsabilité aux parents qui remettent leur(s)(s) enfant(s) à l’école, afin d'éviter des problèmes en justice ?
    R : …
    Q : Quels moyens seront mis en place pour éviter les agressions ou les condamnations publiques d’élèves, d’enseignants ou d’établissements en cas de contamination involontaire ?
    R : …

    ORGANISATION DES COURS
    Q : Tous les disciplines seront-elles enseignées ?
    R : Non, les cours qui nécessitent des déplacements, des manipulations et des interactions entre les élèves, comme des expériences en sciences par exemple, ne seront organisés.
    Q : Le cours d’éducation physique pourra-t-il être donné ?
    R : Oui, à condition d’adapté les activités pour assurer la distance de sécurité entre les élèves, distance qui devra être élargie si l’effort se traduit par une respiration est plus forte.
    Q : Quels seront les sports autorisés lors du cours d’éducation physique, comme par exemple ceux avec des échanges de balles ou de ballons, ou ceux qui exploitent le même support par tous les élèves (engins)  ?
    R : …
    Q : L’horaire des cours sera-t-il différent, adapté ?
    R : …
    Q : Comment sera déterminé le nombre d’élèves en classe ?
    R : Dans la salle de classe, l’enseignement devra être organisé en classes de 10 élèves maximum, avec un minimum de 4m2 par élève et 8m2 supplémentaires par enseignant. Les chaises et bancs doivent être disposés de manière à ce que la distance entre les bancs soit aussi grande que possible, de préférence proche des murs. Les places en classe doivent être fixes. Le matériel superflu doit être enlevé autant que possible.
    Q : Comment dois-je former mes groupes d’élèves ? Dois-je tenir compte de leur(s) option(s) ?
    R : …
    Q : Les élèves seront-ils amenés à changer de groupe ou d’enseignant au cours d’une même journée ?
    R : Non. La logique de silos doit impérativement être respectée, en faisant en sorte que les groupes soient toujours composés de manière identique, et en évitant les mélanges d’élèves. Dans le secondaire, l’élève pourra être en contact avec plusieurs enseignants mais en nombre le plus limité possible.
    Q : Si je donne cours à plusieurs groupes en alternance, devrais-je également m’occuper du groupe qui n’est pas présent pour assurer la continuité du travail à la maison ?
    R : …
    Q : À quel salaire ou primes pourrais-je prétendre si le temps de travail nécessaire pour gérer plusieurs groupes dépasse largement le temps de travail habituel ?
    R : …
    Q : Les travaux de groupes seront-ils autorisés ?
    R : Non. Les élèves participent au cours en restant à leur place, en limitant les déplacements et les rapprochements durant celui-ci.
    Q : Quels recours aurais-je en tant que parent ou enseignant si l’école n’applique pas les nouvelles circulaires ?
    R : …
    Q : Comment seront organisés les déplacements entre les différentes classes et autres endroits au sein de l’établissement scolaire ?
    R : …
    Q : En tant qu’enseignant itinérant, devrais-je me rendre dans les différentes implantations comme à l’habitude ?
    R : Les situations où un enseignant donne cours dans plusieurs implantations devront être évitées.
    Q : Est-il possible de donner cours pendant plusieurs heures avec un masque sur le visage, en étant facilement compris, sans être essoufflé ?
    R : …
    Q : Pourra-t-on tenir des réunions préparatoires avec les enseignants, avec les parents ?
    R : Les réunions préparatoires avec le personnel devront avoir lieu le plus possible par vidéoconférence. Le personnel pourra toutefois être invité à venir physiquement à l’école avant la réouverture. Les réunions se tiendront alors de préférence à l’extérieur ou dans un environnement avec un minimum de 4m2 par personne. Les contacts avec les parents devront se faire exclusivement par téléphone ou vidéoconférence. Les réunions non essentielles avec les parents devront être annulées.
    Q : Quel moyens seront mis en place pour gérer l’anxiété et le stress des élèves et des enseignants ?
    R : …
    Q : Que se passera-t-il si plusieurs enseignants décident de ne pas se rendre à l’école et que nos enfants se retrouvent sans profs et sans matière ?
    R : Les règles de recrutement et de remplacement de membres du personnel, restent d’application dans le respect des normes d’encadrement classiques, en ce compris en cas d’absence entrant dans le champ d’une dispense pour raison de force majeure.
    Q : Mon stage a été interrompu. Devrais-je le reprendre ?
    R : Dans l’enseignement secondaire de plein exercice, les stages ne reprendront pas cette année scolaire. Dans les autres types d’enseignement (en alternance, 5-6P, 5-6TQ, 7P, 4ème degré professionnel, …) pourront reprendre à partir du 18 mai 2020 sous certaines conditions. La priorité sera donnée aux stages des élèves en année diplômante. Les modalités d’organisation, de dispense ou de report des stages non-prestés sont définies dans unecirculaire spécifique.

    CONTINUITÉ DES APPRENTISSAGES
    Q : Quels objectifs concrets les enseignants devront-ils atteindre avec le peu de jours dont ils disposeront pour enseigner avant la fin de l’année scolaire ?
    R : De nouveaux apprentissages devront être proposés aux élèves présents en classe et accompagnés par leur(s) enseignant(s). Ces nouveaux apprentissages doivent se limiter aux savoirs de base et aux connaissances essentielles à acquérir pour parachever au mieux l’année d’étude. Il s’agira également de consolider des connaissances travaillées lorsque l’élève était confiné.
    Q : Si mon enfant retourne en classe, sera-t-il confronter à de la nouvelle matière ?
    R : Oui, mais uniquement des savoirs de base et des connaissances essentielles au parachèvement de l’année en cours.
    Q : Comment mon enfant pourra-t-il rattraper la nouvelle matière qu’il n’aura pas vue s’il est forcé de rester à la maison ?
    R : …
    Q : Les enfants ne faisant pas partie des classes prioritaires continueront-ils à recevoir un enseignement à distance ?
    R : Jusqu’à ce qu’une reprise partielle soit possible pour ces classes, les balises des circulaires 7515 du 17 mars 2020 et 7541 du 16 avril 2020 leur restent applicables. Des travaux à domicile resteront prévus dans un souci d’assurer une égalité devant les apprentissages, dans le respect des balises suivantes :
    - Les travaux ne peuvent en aucune manière porter sur des apprentissages qui n’ont pas été abordés préalablement en classe ; ils doivent s’inscrire dans une logique de remédiation/consolidation/dépassement ;
    - Les travaux doivent être proportionnés dans le contenu et le temps à y consacrer, considérant, par défaut, l’absence d’accompagnement pédagogique des élèves à la maison (travail en autonomie) et la multitude des cours (secondaire).
    - Si l’enseignant recourt à des modalités de travail à distance en ligne, il doit impérativement s’assurer que chaque élève du groupe-classe dispose du matériel et du soutien pour s’y consacrer dans des conditions optimales. Il lui est demandé de mobiliser les moyens technologiques disponibles pour maintenir un lien social avec et entre les élèves autour des travaux proposés ;
    - Les travaux à domicile ne peuvent pas faire l’objet d’une évaluation sommative, mais bien d’une évaluation formative (sans notation) ;
    - L’enseignant doit déterminer, au sein du groupe-classe, les élèves qui devront faire l’objet d’un suivi plus spécifique au moment de la reprise des leçons.
    Q : Mon enfant devra-t-il passer des examens cette année, en juin ou en septembre ?
    R : Non. Le Gouvernement a décidé d’annuler les épreuves externes certificatives (CEB, CE1D et CESS). Les autres évaluations sommatives (avec notes) ne pourront pas être concentrées sous la forme d’une session de fin d’année (ou de seconde session) et ne pourront porter que sur des matières qui ont été enseignées en classe. Dans de nombreux cas, il sera impossible, d’ici à la fin de l’année scolaire, de procéder à des évaluations sommatives qui permettraient de compléter l’appréciation des élèves et de déterminer sa réussite dans le respect d’un principe d’équité.
    Q : Comment mon enfant sera-t-il évalué et de quelle manière l’école décidera-t-elle de la réussite de son année ?
    R : C’est le jury ou le conseil de classe qui décidera de la réussite ou de l’échec de l’élève ainsi que de l’octroi ou non du certificat (CEB, CE1D, CESS). Le redoublement doit être exceptionnel. La décision doit être prise en dialogue avec les parents et les élèves, plus particulièrement si elle débouchent sur l’orientation de l’élève à l’issue de la deuxième secondaire :
    - En cas de réussite, la décision s’accompagne, de mesures précises pouvant comprendre des travaux d’été et devant impliquer un plan de remédiation à la rentrée en septembre 2020.
    - En cas d’échec ou d’attestation d’orientation restrictive, la décision doit faire l’objet d’une motivation détaillée expliquant en quoi il est impossible de permettre le passage de classe ou la certification, ou encore pourquoi l’orientation de l’élève doit être limitée à certains filières.
    Dans l’enseignement qualifiant, pour les élèves pour lesquels le jury de qualification ne serait pas en mesure d’attribuer le certificat de qualification fin juin en application des principes généraux exposés ci-dessus, des modalités spécifiques pourront être proposées dont la prolongation exceptionnelle de leurs études jusqu’au 1er décembre 2020 maximum.
    Les modalités précises pour déterminer la réussite des élèves, leur orientation ou la prolongation exceptionnelle de leurs études feront l’objet d’une prochaine circulaire. 
    Q : Si mon enfant, qui est en rhéto, ne peut se rendre en classe pour des raisons de santé, pourra-t-il quand même obtenir son CESS ?
    R : Oui. C’est le jury ou conseil de classe qui en décidera. Le redoublement devra être exceptionnel.
    Q : Mon enfant recevra-t-il du travail à faire pendant les vacances scolaires ?
    R : La réussite d’un élève pourra être accompagnée de mesures pouvant comprendre des travaux d’été et un plan de remédiation à la rentrée de septembre 2020.

    SERVICES
    Q : Les crèches et les garderies seront-elles ouvertes  ?
    R : A partir du 4 mai et pendant toutes les phases de la reprise partielle des leçons, les garderies organisées jusqu’ici devront être poursuivies. Au regard de la reprise progressive de l’activité économique et professionnelle, il conviendra d’anticiper une montée en puissance des garderies. Aux publics considérés comme prioritaires jusqu’ici, il s’agira d’ajouter tous les secteurs en reprise, mais aussi des enfants vivant dans des conditions sociales compliquées.
    Les garderies des élèves le matin et le soir devront être assurées durant les tranches horaires prévues en temps normal par les établissements et par le personnel qui se consacre habituellement à cette tâche, en veillant à respecter les normes de sécurité précitées.
    Q : Quelles sont les mesurent particulières que devront prendre les crèches et les garderies  ?
    R : …
    Q : Qui gardera mes enfants pendant que j’enseigne en classe s’ils ne rentrent pas à l’école en même temps que moi ?
    R : …
    Q : Si l’école reprend, le secteur sera-t-il considéré comme essentiel ? Si oui, les écoles pourront-elles accueillir les enfants des personnes qui travailleront à l’école et qui n’auront pas d’autres possibilités d’accueil  ?
    R : …
    Q : Les services de transport en commun permettront-ils d’amener tous les élèves à temps à l’école ?
    R : …
    Q : Le transport scolaire sera-t-il disponible ?
    R : …
    Q : Que se passera-t-il si il n’y pas plus assez de chauffeurs de bus (absences, maladies, grèves, …) pour conduire mes enfants à l’école ?
    R : …
    Q : Les élèves qui vivent ou vivront mal la situation pourront-ils bénéficier d’un accompagnement psychologique ou des services PMS ?
    R : Les CPMS devront être impliqué dans reprise progressive des leçons, afin de prendre en compte au mieux les impacts psycho-sociaux de la situation et, le cas échéant, de participer à la mise en place des modalités de suivi des élèves en difficulté. Ils doivent également pouvoir continuer à jouer leur rôle à l’égard des élèves qui ne reprendront pas tout de suite le chemin de l’école.
    Q : Les cantines seront-elles ouvertes ? Sera-t-il possible de commander des repas ou des sandwichs à l’école et de manger sur place ?
    R : Les repas chauds ne doivent pas être servis dans le réfectoire. Les repas froids (tartines) sont préférés, et seront consommés de préférence en classe à l’exception des internats, homes d’accueil et homes permanents.
    Q : Existe-t-il un numéro de téléphone pour poser des questions sur des aspects de l’organisation des établissements face au Covid-19 en lien avec les législations et réglementations propres à l’enseignement ?
    R : Oui. Vous pouvez contacter la Fédération Wallonie-Bruxelles via le 0800 20 000.

    Que se passera-t-il si nous n'obtenons pas toutes les réponses ? Nous serons déçus, certes, mais nous n'aurons pas tout perdu. Nous aurons créé, collectivement, une liste de considérations qui montrera combien la situation est complexe mais qui prouvera que nous l’avons bien cernée. Il ne s'agira pas d'être simplement en colère ou de crier que le système est défaillant. Il suffira simplement de publier et republier les questions auxquelles nos dirigeant n'auront pas apporté de réponse. Cela vous servira d'argumentaire pour vos prises de positions futures.

    Merci d'avance pour votre soutien et votre participation.
    Philippe PACKU
    Dessine-moi une idée ASBL